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 Revue de presse exhaustif Compagnie La Ronde de Nuit

 

La presse en parle:

L'ART DE PERDRE d'après le roman d'Alice Zeniter,

adaptation et mise en scène Sabrina Kouroughli en collaboration artistique avec Gaëtan Vassart

Coproduction TGP - CDN de Saint-Denis, avec le soutien du CENTQUATRE-PARIS.

Ce spectacle a reçu l'aide au projet de la Drac Ile-de-France, Ministère de la Culture.

Revue de presse  L'art de perdre 

“L’Art de perdre” Trois générations. Un exil. Et le silence… Sabrina Kouroughli propose  une lecture réussie de la fresque familiale d’Alice Zeniter." 

TTT- Télérama (Emmanuelle Bouchez) 11 septembre 2023

Sabrina Kouroughli, la séduction même. Elle est magnifique (...) C'est un grand travail. Théâtral et civique. Sensible, plein de coeur et d'âme. 

Le journal d'Armelle Héliot  8 septembre 2023

D'origine algérienne comme Alice Zeniter, Sabrina Kouroughli lui donne sa vérité, sa justesse de ton, ses larmes refoulées, son ironie. Elle a adapté le texte et signé la mise en scène: c'est une réussite.

 Le canard Enchaîné (Jean-Luc Porquet) 6 septembre 

La comédienne et metteuse en scène Sabrina Kouroughli adapte avec finesse le roman multiprimé d’Alice Zeniter, L’Art de perdre, vaste fresque d’une famille entre l’Algérie et la France. Une création savoureuse et profonde sur la perte et la transmission. La Croix (Béatrice Bouniol) 6 septembre 2023 ​`

 

L’Art de perdre ou la recherche de l'Algérie (...) Un spectacle où se raconte la nécessité de la transmission pour construire son identité (...) Brillamment interprétée par Sabrina Kouroughli,  elle nous conduit du douloureux abandon forcé de la Kabylie par la famille de Naïma, à la suite de la signature des accords d’Évian, jusqu’en France où, avec d’autres harkis, ces « oubliés » seront parqués pendant des années au camp de Rivesaltes. SCENEWEB (Hanna Bernard)  4 septembre 2023 

 L’Art de perdre  : pari gagnant. Adapter « L’Art de perdre », sommet littéraire de l’année 2017, sacré Goncourt des lycéens, en une pièce de théâtre de moins d’une heure ? Sacré défi. Mais pari gagnant. Comme dans le roman d’Alice Zeniter, on suit ici Naïma dans sa reconstitution du puzzle familial, avec cette question en filigrane : «Comment faire ressurgir un pays du silence ? » Ce pays, c’est l’Algérie, d’où sont originaires les grands-parents de Naïma. Un pays omniprésent en elle — la couleur de sa peau, la nature de ses cheveux… — mais finalement si abstrait. « Double culture, mon cul », dit-elle crûment. La force du spectacle, joli trio plein de délicatesse, c’est de faire entendre la langue de Zeniter, drôle et précise, percutante et émouvante. Au final, une adaptation intelligente qui recentre le récit sur la transmission. Délicat et important. LE PARISIEN (Grégory Plouviez) 

Sabrina Kouroughli dans le rôle de Naïma tient la corde de bout en bout avec énergie, sensualité et humour. Elle danse ses émotions et nous fait comprendre par le rythme qu’elle arrive enfin à bon port. Fatima Aibout et Issam Rachyq-Ahrad, sont les grands parents qu’on aimerait tous avoir, d’une justesse et d’une humanité sans failles.​  Un Fauteuil pour l'orchestre (Sylvie Boursier) 6 septembre 2023

Sabrina Kouroughli, le pays de l’absence. Sabrina Kouroughli adapte le très beau roman d’Alice Zeniter en quête de réconciliation avec la mémoire de sa famille (...) Une fragilité qu’incarne magnifiquement Sabrina Kouroughli de sa voix tremblante formulant l’incertitude et les hésitations d’une jeune femme en perpétuelle construction (...) Au premier plan, Naïma, trente ans, semble avoir trouvé un défouloir idéal en s’épuisant dans une danse aussi solitaire qu’endiablée. Derrière elle, Yema – formidable Fatima Aïbout –, sa grand-mère, la « gardienne du temple », est occupée à broder, assise devant la table en formica vintage sur laquelle est posée une assiette de makrouds qu’on imagine faits maison(...) Alice Zeniter et Sabrina Kouroughli partagent, entre autres choses, un héritage commun. Toutes les deux ont une grand-mère kabyle et analphabète, sachant à peine parler français, toutes deux ont un grand-père harki. Il n’est déjà pas simple d’être de culture musulmane dans une France en plein questionnements identitaires, rajouter en plus le poids des harkis, traîtres ou collaborateurs aux yeux des Algériens, victimes et serviteurs de la nation à ceux de la France, s’apparente à une double peine (...) L’humour qui traverse le spectacle de bout en bout permet de ne jamais tomber dans le pathos."  MEDIAPART (Guillaume Lasserre)

"Une bonne adaptation, c’est s’éloigner du livre…Dans son adaptation, Sabrina Kouroughli a rapidement voulu axé sur la transmission entre la grand-mère et la petite- fille, ce qui est assez peu présent dans mon livre, et l’emmène ailleurs en s’appuyant sur son histoire."

Le Parisien (Alice Zeniter, propos recueillis par Sylvain Merle) 

"L’ardente Sabrina Kouroughli porte le propos avec belle élégance, s’interrogeant face public, prenant le spectateur à témoin, à l’écoute des informations dispensées pour les commenter, dansant et s’oubliant un peu, avant de tout ressaisir encore, alerte et allègre, souriante et décidée. La grand-mère Fatima Aibout recèle en elle la dignité de celle qui a le savoir, l’expérience et la distance, quand le grand-père Issam Rachyq-Ahrad, disparu, garde intacte la volonté responsable qui le motivait. Un spectacle lumineux de sensations mi-figue mi-raisin hissées jusqu’à la paix retrouvée avec soi." Hotello (Véronique Hotte) 

 "Sabrina Kouroughli adapte et met en scène le roman d’Alice Zeniter en réunissant Yema, la grand-mère, et Naïma la petite-fille qui reconstitue le puzzle de sa famille et interroge ses racines pour se reconstruire!"

LA TERRASSE (Catherine Robert) 

Un regard juste sur notre histoire collective. Sabrina Kouroughli signe une adaptation de « L’Art de perdre » sous la forme d’une enquête mémorielle et onirique. Entre silence et fantasme, la metteuse en scène campe une Algérie ambiguë, une relation aux origines où rien ne va de soi. La Naïma d’Alice Zeniter (Sabrina Kouroughli) assume une algérianité fébrile et névrosée qui cherche à vocaliser les silences qui l’enveloppent – sur le plateau, le noir domine et spatialise un rituel d’exhumation des mémoires. Io Magazine (Célia Sadai) 

Coup de cœur: Belle infidèle, l’adaptation que propose Sabrina Kouroughli convainc. (...) Si bien interprétée par Sabrina Kouroughli, Fatima Aibout et Issam Rachyq-Ahrad, cet art de perdre se cultive au féminin. On commence par les déboires amoureux de Naïma et par ces remarques que font les oncles sur les filles de la famille. Puis, tout du long, on entendra les mots de ces femmes qui payent pour « les conneries des hommes» : la guerre, la fuite... Sabrina Kouroughli brouille délicatement les frontières entre la fiction de départ et la confidence autobiographique. Invités invisibles de la jeune femme qui danse, pense devant lui, nous partageons ses doutes, sa colère. Le portrait est ici tout en subtilités et en nuances. Et le pari paie. La liberté de l’adaptation nous fait redécouvrir le texte. On l’entend dans sa dimension intime et historique (...) Bref, on a envie de relire le livre!

Les trois coups (Laura Plas) 

"Le silence est roi dans L’art de perdre, petite-fille de harki, Naïma ignore tout de ses origines, elle décide de partir à la quête de ses racines. Metteure en scène et comédienne, Sabrina Kouroughli signe aussi l’adaptation de L’art de perdre, le livre emblématique d’Alice Zeniter, prix Goncourt des lycéens. Un spectacle tout en finesse et délicatesse qui avance par petites touches, qui libère maux et mots avec infinie tendresse. Une émotion à fleur de peau pour signifier la douleur de l’exil, d’hier à aujourd’hui, quand la mémoire n’oublie rien mais que le silence masque tout."CHANTIERS DE  CULTURE  (Yonnel Liegois) 

"Avec Sabrina Kouroughli, le roman d’Alice Zeniter poursuit son existence sur les planches. Porter par trois acteurs seulement, la saga racontant l’histoire d’une famille kabyle sur trois générations fait écho à tous les exils et à tous les déchirements." LES COURRIERS DE L’ATLAS (Anaïs Heluin) 

"Un spectacle à ne pas manquer!" SCOOPIT (Alain Neddam)

"Entre tristesse, colère et excitation, l’enquête se met en place et fait bouger les lignes des trois générations. Les 3 acteurs sont formidables de sobriété, de dignité et de sincérité dans leur jeu." LES ECHOS DU MARDI (Michèle Perin)  

"Brillante adaptation de L'Art de perdre d'Alice Zeniter, Sabrina Kouroughli revisite l'un des plus beaux Goncourt des lycéens, une petite pépite que l'on garde donc longtemps avec soi." NOSTALGIE VAUCLUSE

"Une enquête mémorielle où tout est raconté à partir de la famille et y retourne avec des confidences, des souvenirs, des fantasmes et des rêves." MADININART


"L'adaptation et la mise en scène de Sabrina Kouroughli qui tient également le rôle de Naïma est d'une redoutable efficacité dans une simplicité déroutante (...) Tout cela sans pathos avec un certain humour et même de la légèreté dans la gravité(...) Sabrina Kouroughli nous offre un bijou de théâtre, un écrin sur l'exil. (...) Si l'exil peut devenir un art de perdre, le théâtre que nous propose Sabrina Kouroughli est un art du gain(...) Un immense merci à La Compagnie La Ronde de Nuit" SNES (Jean-Pierre Haddad)

 

BÉRÉNICE

Coproduction Théâtre des Quartiers d’Ivry - Centre Dramatique National du Val-de-Marne, et Les Théâtres- Théâtre du Jeu de Paume d'Aix En Provence, avec le soutien du CENTQUATRE-PARIS

TÉLÉRAMA

Sublime tragédie de la séparation et du deuil amoureux, on ne résiste pas à signaler l'intérêt passionné qu'on a porté au travail sur Bérénice de Gaëtan Vassart et Sabrina Kouroughli... Pieds nus sur l'immense tapis rouge qui recouvre le plateau vide — territoire de toutes les absences, de tous les départs —, les comédiens, en costumes modernes, sont les musiciens d'un orchestre, dans le temps comme suspendu de cet amour voué par la politique à la déchirure... Valérie Dréville en Bérénice, y est une éternelle jeune fille, fascinante et bouleversante.  Fabienne PASCAUD, 1er Mai 2019.

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L'HUMANITÉ

La Bérénice mise en scène par Gaëtan Vassart et Sabrina Kouroughli, vient clore un cycle sur les grandes héroïnes après Anna Karenine, de Tolstoï, et Mademoiselle Julie, de Strindberg. Ils mettent en scène une pièce bouleversante du répertoire racinien. Il convient de saluer la réalisation de la pièce racinienne dans une mise en forme qui tend à l’épure – tout repose sur des lumières qui épousent, enveloppent les déplacements des acteurs et leur prise de parole – et la présence constante de tous les personnages sur le plateau – nos trois héros ainsi que leurs confidents, maillons et témoins essentiels de cette tragédie à l’œuvre –, face public dès lors qu’ils parlent ou assis sur des bancs taillés dans du bois qui font cercle. Ils manient l’alexandrin avec une profondeur de chant qui laisse entendre les volutes de cette langue (...) Bérénice ne sauve pas les apparences, elle sauve l’honneur. Marie-Josée SIRACH (18 Mars 2019)

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THÉÂTRAL MAGAZINE

La grande réussite de ce spectacle, c'est d'amener le spectateur au plus près de la langue racinienne. Gaëtan Vassart y parvient par une mise en scène inventive mais très sobre, parfaitement adaptée à cette pièce qui est l'une des plus épurées de Racine. Le plateau présente une antichambre, sorte de ring de couleur pourpre, avec des banquettes où sont assis les comédiens. Ils se lèvent quand c'est leur tour, puis se rassoient, comme des musiciens qui viennent d'interpréter leur partition. Car c'est bien la musique racinienne qui est au centre de la mise en scène. Les vers de Racine sont rendus avec précision et clarté grâce au travail des acteurs (...) chaque acteur joue magnifiquement sa partition. On entend Racine comme rarement. Jean- François MONDOT, 18 Mars 2019

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Regards.org (blog)

Valérie Dréville charge d'émotion vibrante ses répliques, et par-delà les siècles, nous présente une figure plausible et bien plus, de Bérénice. Dans un rectangle rouge, les personnages vont se confronter et se déchirer. Des bancs situés tout autour, leur permettent de se poser quand il ne sont pas en scène. Le texte de Racine, qui prend, dans un tel dépouillement, toute sa mesure, est dit avec une belle et pénétrante acuité. Costumes modernes, pour souligner combien cette problématique est universelle. Les comédiens assurent : en Antiochus, Anthony Paliotti offre une figure tourmentée avec un jeu tout en suspension et douleur contenue. Plus solaire, Stéphane Brel est un Titus écartelé entre amour et respect des lois. Phrasé très personnel et silhouette menue cachant une force insoupçonnée, Sabrina Kouroughli est Arsace. Quant à Valérie Dréville, elle porte la pièce sur ses épaules : on guette ses réactions, on se passionne pour son jeu, pour l'autorité et les nuances qu'elle apporte au rôle. Gérard NOËL 

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Holybuzz  (blog)

Aussi épurée que grandiose. «Bérénice » au Théâtre des quartiers d'Ivry, pendant hélas peu de temps, est une pièce qui marque. C'est le pur texte de Racine, dans une mise en scène épurée à un point rare – ce qui n'empêche pas le grandiose vers la fin de la pièce – de sorte que toute l'attention reste concentrée sur les émotions des protagonistes. Comme chacun est parfaitement juste dans son personnage – y compris ceux dits secondaires – on imagine le plaisir qu'il y a à suivre leurs hésitations, leurs luttes, l'ardeur de leurs passions, leur sens du devoir.La diction est exceptionnelle, l'alexandrin est parfaitement perçu en même temps qu'il donne une impression de naturel absolu.Le jeu fait au passage ressortir les quelques moments d'humour qui émaillent le texte de Racine. Il montre bien par ailleurs comment les dilemmes auxquels s'affrontent les personnages les mènent parfois à la limite de la folie.Le rythme de la pièce est parfaitement maîtrisé, on ne s'ennuie donc pas une seconde. Il est agrémenté d'une discrète chorégraphie qui rend le spectacle encore plus parlant visuellement.Voici une création à laquelle on souhaite longue vie ! Pierre FRANÇOIS

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Théâtre Paris blogspot (blog)

Très belle représentation de Bérénice au théâtre des Quartiers d’Ivry, épurée, une mise en scène sobre, le grand plateau de la scène recouvert d’un revêtement bien rouge pour bien délimiter et symboliser l’espace de jeu des acteurs. Ceux qui ne jouent pas restent assis, à observer sur des bancs et gardent ainsi une présence visuelle et surtout beaucoup de concentration pour cette pièce qui en demande… Des acteurs qui sont pleinement au service du texte de Racine, sans fioriture...C'est la promesse de passer une excellente soirée… Philippe CHAVERNAC

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Un fauteuil pour l'orchestre (blog)

Valérie Dréville, Bérénice, irradie, incandescente, torche vive, toute entière à son personnage. Intelligence du vers, ampleur, souffle, voix, une présence sur le plateau qui tient au mystère... Si Bérénice est exemplaire pour Racine, Valérie Dréville l’est pour le spectateur. Une véritable leçon de tragédie, une immense tragédienne. Tant de subtiles inflexions en un seul vers, la voix aux inflexions soumises aux sentiments, le corps de même, tout est signes et participe à l’élaboration sans concession d’un personnage, de son évolution, auquel elle se livre tout entière... Valérie Dréville dépasse cette justesse pour atteindre une vérité, une profondeur troublante, réalisant en cela le souhait de Racine, dépouillant la tragédie de l’action pour en libérer le verbe. Valérie Dréville, parce qu’elle le met en situation, est ce verbe incarné. Et magistralement. Denis SANGLARD

Revue de presse - Bérénice

PETIT FRÈRE, LA GRANDE HISTOIRE AZNAVOUR

Création Octobre 2019 avec le soutien du Grand Théâtre de la Ville de Luxembourg ( dans le Cadre de Capucins Libre) , Kultur Lx et le Grand Est. Mise en scène Gaëtan Vassart / Caserne des Pompiers, Festival Avignon 2023

                                                                                  

"Grégoire Tachnakian et Laure Roldàn sont époustouflants de vérité, leurs voix sont étincelantes, leur engagement est total. La mise en scène de Gaëtan Vassart est sobre et efficace. Le texte bien ciselé est une page d’histoire de l’humanité que chacun de nous devrait connaître." COUP DE THÉÂTRE    Isabelle Lévy, le 23/06/2023

 

"Laure Roldán et Gaëtan Vassart racontent l’histoire de l’Arménie depuis le génocide de 1915 à travers le destin de la famille Aznavourian, dont le fils plaça le nom en haut de l’affiche, en dix fois plus grand que n’importe qui!"

LA TERRASSE   Catherine Robert, le 10 juin 2023.

Une histoire d’intégration et de bravoure inouïe dont la famille Aznavour a fait preuve durant la seconde guerre mondiale, proche de la résistance et du groupe Manouchian (…) Missak Manouchian et Mélinée vont être panthéonisés en février 2024 et leur histoire est aussi racontée dans la pièce. 11 juillet 2023

TV FRANCE 24

Le spectacle passe d'un lieu à un autre, traverse les époques dans une mise en scène fluide et très convaincante de Gaëtan Vassart(...) Laure Roldan, lumineuse et vibrante est une Aïda toute en sobriété, une Edith Piaf clownesque magistrale et toute une galerie de personnages qu'elle incarne avec talent.(...) Quant à Grégoire Tachnakian, il est tout en finesse avec une vraie humanité un Charles plus vrai que nature. Il restitue à la perfection le mélange d'ambition et de modestie de ce jeune homme bourré de défauts qui les utilisa à son avantage.

Un grand moment de théâtre délivré avec générosité par deux comédiens extraordinaires dans un spectacle magnifique, enlevé et très émouvant.   

FROGGY'S DELIGHT 

Laure Roldán et Gaëtan Vassart s’emparent de ce texte, et avec brio mettent en scène l’exil des parents arméniens, la pauvreté à Paris, la relation décisive de Charles avec Édith Piaf et la conquête du music-hall. Ils retracent avec sensibilité une histoire, celle de l’intégration dans un pays, par la langue et à force de talent et de volonté. Celle d’une odyssée singulière qui éclaire tout un siècle. Car si le destin de Charles Aznavour touche à l’universel, c’est qu’il porte en lui le chant de l’exil.

SCENEWEB

Les Aznavour, une version intimiste de la tragédie arménienne (...) Ovations du public (...) La mise en scène de Gaëtan Vassart reste très discrète, sans effet superflu pour laisser place à l'essentiel: les mots d'une femme et sa relation privilégiée avec son petit frère (...) Laure Roldan incarne avec talent une savoureuse galerie de portaits, de l'arrière-grand-mère à sa désopilante évocation de la possessive Edith Piaf (...) Un spectacle en résonance avec tout son passé, avec le génocide, l'exode, en prise directe avec l'actualité: le conflit du Haut Karabah. Jean-Yves Estre

LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ 

Derrière le célèbre chanteur, se cache le destin bouleversant d’une famille arménienne sur plusieurs générations de 1915 à nos jours, un très beau spectacle. Thierry Lebon

TSF JAZZ

📻 Interview avec Gaëtan Vassart sur l’émission Coup de Projecteur  📻 TSF Jazz ( durée 5')

La mise en scène est sensible, les comédiens sont touchants. L’ensemble émeut autant qu’il bouscule. Au-delà de l’hommage réussi à Charles Aznavour, de la narration émouvante d’une vie, «Petit Frère» propose également une réflexion pertinente sur l’amour fraternel, sur la création artistique, sur la vie de bohème, sur la migration, sur l’intégration.  Pablo Chimienti

LE QUOTIDIEN (Luxembourg)

Laure Roldàn et Grégoire Tachnakian multiplient savoureusement les rôles, donnant belle ville aux protagonistes du récit. Gaëtan Vassart les a installés dans une scénographie tout aussi multiple de juste inventivité, donnant à "voir" ses différents lieux et environnements. Stéphan Gilbart

LUXEMBOURG WORT (La Voix du Luxembourg)

ANNA KARÉNINE-LES BALS OÙ ON S'AMUSE N'EXISTENT PLUS POUR MOI 

d'après Léon Tolstoïadaptation et mise en scène Gaëtan Vassart en collaboration avec Sabrina Kouroughli

Création le 12 mai 2016 au Théâtre de la Tempête, avec l'aide au projet de la DRAC ÎLE-DE-FRANCE-Ministère de la Culture et de la Communication, la Mairie de Paris, l'adami, et la participation artistique du Jeune Théâtre National;

Avec Golshifteh Farahani, Xavier Boiffier, Emeline Bayart, Sabrina Kouroughli, 
Xavier Legrand, Manon Rousselle, Igor Skreblin, Stanislas Stanic, Alexandre Steiger.

revue de presse ( pdf)

"Les spectateurs sont enthousiastes, l’initiative de Gaëtan Vassart a le grand mérite de mettre en lumière Golshifteh Farahani pour la première fois sur un plateau en France.  Golshifteh Farahani, divine Karénine, est magnifique, c’est indéniable. Elle est idéale pour interpréter Anna Karénine, «la plus belle femme de Russie», son accent et sa voix font merveille, son corps est souple comme celui d’un chat, et lorsqu’au bal elle commence à danser dans sa robe noire de deuil, se dévêtant de son manteau, puis envoyant balader ses chaussures, pour le comte Vronski, et que le coup de foudre les frappe sur la Valse à mille temps de Jacques Brel, ce sont tous les spectateurs - femmes et hommes - qui sont touchés. "

LIBÉRATION (Anne Diatkine)

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"Nouvelle adaptation scénique d’Anna Karénine, le roman-fleuve et phare de Léon Tolstoï. Le belge Gaëtan Vassart a osé. Sa mise en scène chahutée apporte vitalité et insouciance à l’adaptation du roman visionnaire, qui brasse éclairage à la bougie et chanson de Jacques Brel, rideau, robe à paillettes et références austères au morbide plasticien contemporain Joseph Beuys. Il fait rayonner Golshifteh Farahani au milieu d’une talentueuse distribution."

TELERAMA (Fabienne Pascaud)

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"Il faut du culot pour s’attaquer à « Anna Karénine ». Gaëtan Vassart gagne son pari.

Haut la main. Quelques chaises, un lustre dont les chandelles vacillent et s’éteignent en même temps que l’héroïne, plus un panache de fumée, suffisent à évoquer la gare de Moscou lorsque, à l’arrivée d’Anna, un désespéré se jette sous un train, signe prémonitoire du sort qui attend la femme adultère. Si Gaëtan Vassart se contente de décors minimalistes, entourée d’excellents acteurs, la sublimité de Golshifteh Farahani n’est pas sujette à discussion." 

LE NOUVEL OBSERVATEUR (Jacques Nerson) 

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"Gaëtan Vassart signe une adaptation pleine de probité du célèbre roman de Léon Tolstoï et en fait une mise en scène déliée, originale, simple. Dans la partition de l'héroïne, Golshifteh Farahani impose sa personnalité délicate et profonde. Elle est bien entourée, c’est un théâtre fraternel et vrai. 

LE FIGARO (Armelle Héliot)

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" Gaëtan Vassart, jeune dramaturge belge de trente-huit ans, dirige formidablement ses comédiens dans un adaptation pleine d’intelligence… On redécouvre la force et la violence d’Anna Karénine, qui ose son désir, et va au bout de son destin… De toute ma vie de spectatrice, on n’avait jamais vu la salle du Théâtre de la Tempête aussi pleine… Les références picturales à Joseph Beuys et Anselm Kiefer portent une proposition éclectique et de bon goût… Gaëtan Vassart nous rend toute la modernité du personnage d’Anna Karénine… L’idée de Golshifteh Farahani dans le rôle d’Anna Karénine est d’une pertinence absolue, sa présence et sa voix envoutante vous clouent à votre fauteuil… Neuf cent pages en deux heures, l’adaptation rend toute la complexité de l’histoire et des personnages, sans jugement de valeur…  L’humain est mis en scène dans sa complexité que Gaëtan Vassart nous donne à voir et sentir, avec une  écriture stylistique dans plusieurs registres dramatique, une vraie réussite."

LA DISPUTE, France Culture (Arnaud Laporte, Anna Sigalevitch et Fabienne Pascaud)

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"Mise en scène dynamique de Gaëtan Vassart, qui parvient à condenser 900 pages en deux heures et quart trépidantes. On passe d'une scène à l'autre d'un mouvement de chaises ou de rideau. On danse au bal sur du Jacques Brel ou du Amy Winehouse. Pour sa première pièce en français, l'actrice iranienne Golshifteh Farahani, 32 ans, irradie sur la scène de la Tempête...Elle rayonne , vibrante, et s'illustre dans un grand rôle tragique."

LE PARISIEN (Thierry Dague)

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" Les premiers pas de Golshifteh Farahani au théâtre. Et une réussite que la jeune comédienne doit en grande partie aussi à Gaëtan Vassart, le metteur en scène, qui a adapté le roman de Tolstoï en lui apportant des touches de modernité et de trivialité plaisantes, jamais vaines ni caricaturales. Quant à la jeune troupe, en grande partie issue des mêmes classes au conservatoire de Paris, elle est juste épatante et soudée. Xavier Boiffier, Emeline Bayart, Alexandre Steiger, Sabrina Kouroughli, Stanislas Stanic…- sont parfaits pour emmener la belle Golshifteh au sommet du romantisme et de l’émotion. A la fois divertissant et pédagogique, mené tambour battant, le spectacle a vraisemblablement les atouts pour rencontrer le succès."

LE JOURNAL DU DIMANCHE ( Alexis Campion)

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" Un grand texte, une grande actrice pour incarner le rôle-titre, une troupe soudée autour,  spectacle vif et limpide d'un peu plus de deux heures. Le metteur en scène dirige ses comédiens intelligemment, leur imposant un jeu ardent, juste et efficace. Golshifteh Farahani incarne avec grâce et vérité l'héroïne de Tolstoï [...] Sabrina Kouroughli campe une Kitty fraîche et insolente, Emeline Bayart (Daria) est irrésistible en femme bafouée. Les rôles masculins sont à l'avenant, avec un poignant Karénine incarné par Xavier Legrand et un Vronski (l'amant d'Anna) très distancé. Sur scène comme sur un plateau de cinéma, Golshifteh capte la lumière et s'avère une grande tragédienne : elle est « la lueur d'un incendie dans la nuit sombre » voulue par Tolstoï".  

LES ECHOS (Philippe Chevilley)

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"Une réussite ! Sous la direction de Gaëtan Vassart, la troupe de neuf comédiens enchante le théâtre de la Tempête avec ses scènes dansées. Sans jamais sombrer dans le pathos, la comédienne iranienne exilée en France incarne avec une grande délicatesse le désespoir d'une femme bannie par la société pour avoir vécu pleinement son amour. C'est son premier rôle sur les planches tricolores. Il est inoubliable Saluons la qualité de l'adaptation de Gaëtan Vassart, qui restitue en deux heures sa complexité, de la naissance du désir féminin aux affres de la jalousie, en passant par l'analyse politique et sociale d'une Russie en pleine mutation". L'EXPRESS ( Igor Hanssen-Love)

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"L’actrice franco-iranienne Golshifteh Farahani incarne sublimement l’un des personnages les plus troublants de l’histoire de la littérature, Anna Karénine [...] L’étrange beauté, la finesse du jeu, l’intériorité de Golshifteh Farahani surprennent et émerveillent. Et imposent le respect". LES INROCKS ( Hervé Pons)

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Ovation pour toute la troupe d'Anna Karénine à la Cartoucherie: applaudissements, larmes, émotion absolue. C'est un triomphe. Un véritable moment de magie: vite, allez applaudir l'adaptation virtuose d'Anna Karénine, par Gaetan Vassart. STILETTO (Laurence Benaïm) 

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"Du grand roman, Gaëtan Vassart tire une pièce où les échanges sont au cœur du drame. Ce sont les personnages, leurs sentiments et leurs liaisons que Vassart met en exergue. Les désirs sociaux sur lesquels Léon Tolstoï construit ses héros sont bien visibles : égalité entre les hommes et les femmes, entre les paysans et les propriétaires, entre gens de la ville et la campagne : que chacun soit libre d’utiliser son corps comme il l’entend. Les racines volontaires et idéalisées du communisme poussent au détour des répliques."  SCENEWEB ( Hadrien Volle)

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 " Le texte de Gaëtan Vassart met la résistance et l’émancipation des femmes en avant. C’est formidable, car ce parti pris modernise le texte, et n’en appauvrit pas le sens. Fougue et la vivacité de la troupe, presque toute issue du Conservatoire supérieur d’Art Dramatique. Quel bonheur de voir porter sur scène, avec à la fois humilité et vitalité, l’une des plus belles œuvres romanesques de tous les temps. Une œuvre qui, certes, radiographie une passion, mais qui, surtout, promeut des valeurs comme la liberté et la nécessité de l’instruction pour tous. " FRANCE INFO

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Revue de presse intégrale Anna Karénine ici 

Intégralité des articles:

Télérama ( Fabienne Pascaud)

Les Inrocks (Hervé Pons)

Le Parisien ( Thierry Dague)

Le Nouvel Observateur ( Jacques Nerson)

Libération( Anne Diatkine)

Le Figaro ( Armelle Héliot) 

Les Echos( Philippe Chevilley ) 

L'Express( Igor Hanssen-Love)

Le Journal du  Dimanche ( Alexis Campion)

Télérama Sortir (Sylviane Bernard-Gresh) 

Liens ( ARTE, La Dispute, Les mots de Minuit...)

MADEMOISELLE JULIE REF 7056 - copie.jpg

Revue de presse complète de Toni M. ici

MADEMOISELLE JULIE

En coproduction avec la Comédie de Picardie à Amiens, avec le soutien de la Ménagerie de Verre-Paris et le Théâtre 13-Paris

[La presse en parle]

« Après avoir adapté avec talent Anna Karénine, Gaëtan Vassart met en scène un autre grand personnage théâtral féminin en quête d'émancipation : Mademoiselle Julie dans la tragédie naturaliste d'August Strindberg. Il en propose une version modernisée et explore au microscope le trouble entre les deux personnages principaux. […] Anna Mouglalis est une brillante Julie, Xavier Legrand a une colère contenue qui finira par éclater et Sabrina Kouroughli, excellente, est tranchante à chacune de ses apparitions. […] Un spectacle toujours captivant où ce trio impeccable de comédiens ainsi que la mise en scène poussant chaque personnage dans ses retranchements offrent un intrigant et vénéneux face à face.» Froggydelight.com - Nicolas Arnstam

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«Kristin (Sabrina Kouroughli), la cuisinière, surveille la cuisson, puis sert le repas de Jean, son presque fiancé (Xavier Legrand). Ainsi débute cette adaptation de Mademoiselle Julie, mise en scène par Gaëtan Vassart et créé à Amiens(…) La pièce n’a rien perdu de son odeur de soufre, Julie, interprétée par Anna Mouglalis qui donne sa fièvre et son incomparable voix de basse vibrante au personnage finit dans les bras de Jean, sous les yeux d’une Kristin résignée.» L'Humanité - Gérald Rossi

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«Après l’adaptation cinématographique de Liv Ulmann en 2014 avec la sculpturale Jessica Chastain, c’est au tour de Gaëtan Vassart de se frotter à ce texte âpre, à la cruauté mordante, mortifère[…] Amoureux d’actrices uniques, ineffables, après avoir dirigé la lumineuse Golshifteh Faharani dans une version féminine d’Anna Karenine, il confie le rôle de l’héroïne vénéneuse et funeste du dramaturge suédois à Anna Mouglalis. Corps longiligne, voix rauque si singulière, c’est un diamant brut, particulier, dont il faut ciseler le jeu pour qu’émotion et intention se conjuguent intensément.» 

Médiapart - Olivier Fregaville-Gratian d'Amore

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« Gaëtan Vassart adapte et met en scène la tragédie naturaliste de Srindberg où les rêves et les désirs se fracassent sur la fatalité du réel (…) Un pièce dure, âpre, physique dans laquelle excellent Anna Mouglalis (Mademoiselle Julie) et Xavier Legrand (Jean) sous le regard étonné puis horrifié de Sabrina Kouroughli (Kristin), un très bon moment de théâtre !» Le Courrier Picard – Mélanie Carnot

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« La justesse de la mise en scène, une distribution en parfaite adéquation avec les personnages, un décor approprié, font de cette adaptation une réussite. Charmeuse, ensorceleuse, imprévisible, mais aussi violente et dominatrice, Anna Mouglalis, avec sa voix envoûtante se coule dans le rôle comme s'il avait été créé pour elle. Face à elle, Xavier Legrand déploie toute son énergie et son talent pour incarner ce valet habité de l'ambition de sortir de sa condition de domestique[…] Le rôle de Kristin, le seul des trois personnages à se satisfaire de sa condition sociale, est joué tout en finesse par la jeune Sabrina Kouroughli.» Regarts.org - Élishéva Zonabend 

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« Anna Mouglalis incarne une Mademoiselle Julie du 21ème siècle (...) Tout en restant fidèle au texte de Strindberg, Gaëtan Vassart prend ici le parti de rendre cette pièce très moderne (...) Adaptation de la pièce du suédois August Strindberg, mise en scène par Gaëtan Vassart, la pièce emmenée par une Anna Mouglalis magnétique et éblouissante a fait le bonheur des spectateurs qui ont eu la chance de la découvrir en avant-première.» Toutelaculture.com - Sarah Dray

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«Une pluie de ballons et de confetti rouges tombe en pluie et jonche le sol pendant la fête de la Saint-Jean. Les confetti se retrouveront sur les draps qui accueillent l’étreinte de Julie et Jean, symbolisant le sang de la défloration. Plus tard, le sang de la décapitation du serin sacrifié par Jean tâche les mains de Julie – ce sang qui symbolise la violence et préfigure l’issue tragique, sur les fonds sonore battement de coeur angoissant. Et pourtant, Julie jamais ne se départit de son flegme ni ne semble gagnée par le désarroi. Le jeu d’Anna Mouglalis, très naturel, séducteur jusqu’à la fin, est déstabilisant.»

La Grande Parade - Imane Akalay

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« Le metteur en scène a retrouvé deux acteurs qu’il avait dirigés dans Anna Karénine. Sabrina Kouroughli porte bien le personnage de Kristin. Asservie aux maîtres, elle accepte les différences sociales et ne peut accepter les transgressions de Julie. Xavier Legrand incarne Jean. Il résiste au mépris de Mademoiselle Julie. C’est Anna Mouglalis que Gaëtan Vassart a choisi pour incarner cette dernière. Grande, en pantalon, bottines à talons aiguilles et décolleté tombant sur les épaules, marchant à grands pas d’un air déterminé, elle exprime bien la volonté de Julie d’agir en homme. Sa voix rauque et grave la rend convaincante aussi bien en dominatrice qu’en femme désespérée et perdue. » SNES - Micheline Rousselet

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« Après avoir porté Anna Karénine au théâtre, Gaëtan Vassart travaille à la mise en scène de la célèbre pièce Mademoiselle Julie, d’August Strindberg. Anna Mouglalis, qui incarnera l’héroïne, raconte ce projet en cours d’édification. "Je rêvais de ce projet depuis le Conservatoire. Ce chef d’œuvre échappe à la raison malgré son immense acuité. Parmi les thèmes qu’il aborde, celui du désir féminin est rarement mis en avant. J’ai été d’autant plus enthousiasmée d’aborder ce projet avec Gaëtan Vassart. Il a ce talent de permettre la remise en question permanente, ce qui est crucial pour pouvoir s’approprier la parole d’un personnage. L’intrigue originelle a pour cadre la Suède de la fin du XIXe, mais un héritage écrase encore nos pensées. La violence que Julie côtoie répond au désir qu’elle revendique...» 

Théâtral Magazine - Victoria Hatem

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« Gaëtan Vassart adapte et met en scène la tragédie naturaliste de Srindberg où les rêves et les désirs se fracassent sur la fatalité du réel (…) Un pièce dure, âpre, physique dans laquelle excellent Anna Mouglalis (Mademoiselle Julie) et Xavier Legrand (Jean) sous le regard étonné puis horrifié de Sabrina Kouroughli (Kristin), un très bon moment de théâtre !»

Le Courrier Picard – Mélanie Carnot

Revue de presse Mademoiselle Julie

Toni M - Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles et onze millions six cent mille euros dans mon dos

Avec l'aide à la création de Artcena, le soutien de la Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon, la Mousson d'Été, MEEC des écritures contemporaines et le CDN de Toulouse.

Gaëtan Vassart a écrit un très beau texte. Poétique, vrai, généreux... Qu’il assume, franc comédien, entre un billot sur lequel il fait son boulot d’équarisseur, poulets morts, et un vivant coq flamboyant. Dont il protège la cage par un torchon, quand ce qu’il dit ou fait est trop cruel. Et ça l’est parfois, comme ses souvenirs d’enfant de la campagne belge, où tuer un poulet est un boulot normal. C’est un beau boulot qu’a fait là Gaëtan Vassart. À mains nues, sans contrefaçon, et cœur sur la main. Adoubé par Bernard Sobel -une référence-, il est fort applaudi par les spectateurs.  La Provence – Danièle Carraz

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Gaëtan Vassart, comme acteur, a une présence étrange et forte, une enveloppe brute qui libère des mots et des sentiments pleins de finesse. Il ne fait pas de Musulin un héros ou un salaud. Il efface quasiment Musulin lui-même pour créer un personnage plus universel, banal et noble, à aimer sans passer par les habituelles catégories morales et romanesques... Jeu rude, décor rude, presque sordide, mais le texte a sa grâce – des inflexions imprévues, une langue musclée, une sensibilité masquée. Ce n’est pas anecdotique, c’est un parcours mental qui saisit des rêves et des sensations, bien au-delà de l’histoire même... Une réussite.  Web Théâtre – Gilles Costaz

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Enthousiasmant de découvrir tout ce que le spectacle de ce jeune acteur parvient à toucher et à dire, drôle et stimulant! Gaëtan Vassart invite le public à constater la puissance de ce partage temps que permet le théâtre. « On passe un peu de temps là ensemble, mettons, bon, que ça dure un peu plus longtemps que prévu », lance l’acteur dans un moment de collusion parfaite avec son personnage. S’ensuit un moment de silence inattendu, anormalement long : un luxe de néant comme on ne s’en offre presque jamais, à la vie comme à la scène.  Blog "Coup de de Théâtre" - Le Monde.fr – Judith Sibony 

 

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Gaëtan Vassart nous emmène dans la tête de Toni Musulin. En novembre 2009 ce convoyeur de fonds détourna sa cargaison: 11,6 millions d’euros qu’il « trimballait dans son dos ». Dans un espace où l’on devine sa cellule, l’homme raconte son équipée tout en plumant un poulet. Tel Icare qui brule ses plumes en volant trop près du soleil, Toni détaille les rêves que le butin lui permettra de réaliser. Mais au détour des paroles on devine qu’il y croit sans trop y croire. Interprète de son texte, Gaëtan Vassart dote ce voyage intérieur et cette réflexion sur l’utopie, d’une âpreté parfois virulente, tantôt drolatique.  France Bleu  – Michel Flandrin

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L'écriture de Gaëtan Vassart est réellement passionnante ; fluide tout en étant rythmée, elle sait développer et suivre les méandres de l'imagination du personnage jusque dans des sphères doucement poétiques et presque délirantes. Elle fonctionne comme un appel d'air salutaire. D'autant plus salutaire que c'est Gaëtan Vassart, lui-même, qui donne vie au personnage. Comédien accompli à la présence charnelle forte, il a beaucoup travaillé sous la direction de Bernard Sobel qui est venu l'aider sur cette production en tant que collaborateur artistique, il donne ainsi à la personnalité de Toni M. une dimension saisissante dans l'espace apparemment réaliste, qui nous renvoie pourtant à une autres temporalité mêlant passé, présent et futur. Son jeu ne cesse de nous déconnecter de la stricte réalité pour nous mener dans on ne sait quel infernal imaginaire. C'est tout simplement remarquable.  Revue Frictions – Jean-Pierre Han

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Gaëtan Vassart décide d'imaginer le récit de ce rêve fou de Toni Musulin, et l'interprète à partir de la Cour de prison où il est enfermé. Un monologue aux registres changeants, parfois quotidiens, parfois poétique, toujours à hauteur d'homme, sous la figure d'Icare qui se brîûe les ailes. Un  récit pour donner du sens et de l’humanité à un acte littéralement  extraordinaire. Ce texte a donné lieu à une résidence à la Chartreuse.  La Terrasse  –  Eric Demey

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Gaétan Vassart s’empare de son texte qu’il a écrit en résidence à la Chartreuse de Villeneuve-lès- Avignon, avec beaucoup de finesse et de savoir-faire. Il est là, solide, assis sur une chaise, en train de plumer sa poule comme un paysan qui l’a fait des dizaines de fois, en racontant la belle histoire de cet homme dont le rêve un peu naïf fascine toujours les populations.  Théâtre du Blog –  Philippe du Vignal

Revue de presse Toni M. ( pdf)

Revues de presse de la Compagnie La Ronde de Nuit

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